Gaëlle K. Kempeneers – Marylou et l’Arbre aux Murmures

Bonjour mon monde!

Aujourd’hui, c’est avec Marylou et l’Arbre aux Murmures de l’auteure belge, Gaëlle K. Kempeneers, que je reprends le fil de mes petites notes littéraires.

Résumé :

Au plus profond de l’Ardenne, dans un lieu où fées et croquemitaines côtoient notre réalité, Marylou, fille et petite-fille d’ensorceleuse, n’aime rien de plus que de retrouver l’Arbre-aux-Murmures et les habitants de la forêt du Pas-du-Loup. Mais voilà qu’elle apprend que cette dernière va être rasée…
Marylou jure de tout tenter pour la sauver.
Quand, en plus, son ami Sam disparaît au fond des bois, la fillette ignore encore quels dangers elle devra braver pour le retrouver et tenir sa promesse.
Saura-t-elle surmonter les épreuves jetées en travers de sa route?

CHANTE LES VENTS,
DANSENT LES VAGUES…

(…) la maman de Marylou s’est vite détournée des enchantements (…) Elle dit qu’il faut apprendre à vivre dans le monde moderne (…) Extrait de Marylou et l’Arbre aux Murmures

La magie est à la portée de tout le monde. De tous ceux qui y croient et qui voient par le cœur. Est-ce parce qu’on nous pousse à vivre dans un monde moderne relié à des choses totalement futiles et égoïstes,  que nous ne voyons plus avec notre cœur d’enfant?

La magie pure est liée à la nature, à la terre nourricière.
Est-ce également pour cela que Marylou va tout faire pour protéger l’arbre millénaire et tous ses habitants de la folie de la «société moderne» qui détruit sans penser au lendemain? «Elle fait le vœu de se battre pour les protéger des adultes ignorants» Extrait de Marylou et l’Arbre aux Murmures

PLEURENT LES ÉCHOS D’UN PEUPLE SUPPLICIÉ,
SUR EUX, LES FLOTS DU TEMPS ONT COULÉ…

«Elle voudrait fuir, abandonner. (…) la suite des évènements risque de mal tourner pour elle comme pour son ami. Pourtant, elle n’ébauche pas le moindre geste pour faire marche arrière, liée par le pacte de sang(…) » Extrait de Marylou et l’Arbre aux Murmures.

Poussée par la totale confiance portée par son ami, par l’espoir de l’Arbre aux Murmures et du peuple de la forêt, ainsi que par l’amour de sa grand-mère qui ne cesse de l’aider à affronter les diverses péripéties qu’elle rencontre, Marylou, «fille et petite-fille d’ensorceleuse» prend courage et affronte ses peurs.

 

«Rappelle-toi qui tu es! lui ordonne la voix de mémé dans sa tête.» Extrait de Marylou et l’Arbre aux Murmures

Savoir d’où on vient, connaitre son passé aide à savoir qui on est.
Savoir qui nous sommes, aide à affronter les problèmes rencontrés dans une vie. Et le fait de s’en souvenir, donne un coup de boost.

 

FUNESTE DESTIN, TRISTE COMME UN BAISER.

Dessin de Gwendal Lemercier

 

«La mort et la naissance, étroitement mêlées dans la nature, jouent l’hymne qui célèbre le retour de la divinité.» Extrait de Marylou et l’Arbre aux Murmures

Une vie pour une vie. Un sacrifice pour un renouveau. Une amitié éternelle.

Les notions abstraites du bien et du mal n’existent pas pour un peuple qui vit éternellement depuis des millénaires. Donner une vie pour faire revivre une divinité est tout ce qui est de plus normal pour ce peuple de légende, surtout si celui-ci est le dieu protecteur de la forêt: «(…) elle comprend le but poursuivi par l’Arbre aux Murmures, le sacrifice qu’il souhaitait offrir au dieu pour provoquer son réveil.»

Gaelle K. Kempeneers nous offre une excellente histoire sur une Marylou, aidé par son ami Sam affrontant l’obscurité pour sauver des créatures légendaires de l’appétit féroce d’êtres humains préférant l’argent et le matériel à la richesse intérieure.
La rencontre d’êtres supérieurs fait grandir la petite fille qu’elle était au début de l’histoire. «Son regard lui parait immense d’en avoir trop vu (…)»Extrait de Marylou et l’Arbre aux Murmures
«Tu es restée introuvable pendant plus de dix jours» Extrait de Marylou et l’Arbre aux Murmures

Le voyage d’une vie, aussi courte qu’elle soit aurait-elle un but? C’est ce que semble constater Marylou. «Elle réalise que son voyage jusqu’au profond de la forêt n’a eu pour but que de la préparer à cette rencontre.» Extrait de Marylou et l’Arbre aux Murmures

 

Une belle histoire qui parle de courage, d’amitié et de la nécessité de savoir qui on est réellement…  Un livre à mettre dans toutes les mains. (petits et grands 😉 )

Merci à  pour l’envoi de ce roman jeunesse.
Envie de l’acheter, c’est par ICI

 
Ps/ Dans le chapitre 10, le monstre des marais m’a fait penser à un poisson qui attrape ses proies grâce à un leurre placé sur sa tête. « Le monstre se servait des fées capturées aussi bien de lanternes pour attirer des proies que des otages»

La baudroie abyssale peut vivre jusqu’à 2000 mètres de profondeur… «Ici, la lueur de la lune ne passe plus : elle vient de pénétrer dans la partie la plus sombre de la forêt. Là où règne la nuit perpétuelle.» Extrait de Marylou et l’arbre aux murmures.
Pour ceux qui ont lu l’histoire, ça y ressemble, non? 😉

 

Dans le monde fantastique de petits doigts tapant sur le clavier du Dieu-Cerf…

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Guillaume Duhan – La Rivale

Bonjour mon monde!
Une petite note explosive sur la nouvelle de Guillaume Duhan.

Résumé :

Là où toutes les filles de mon âge, pour la plupart sans personnalité ni caractère, passent leur temps à faire du shopping ou prendre soin d’elle dans l’espoir minable et dépassé de trouver un riche prince charmant – à travers lequel elles existeront à peine – je m’efforce de m’élever.

Courte. Intense. Concise.
Telle est la nouvelle de 5 pages de Guillaume Duhan.
L’histoire concerne une jeune fille racontant son parcours en athlétisme. Cette dernière connait ses forces et ses faiblesses. Elle se sent supérieure. Elle sait ce qu’elle veut : gagner!… À tout prix.

«(…) Elles n’auront jamais ma détermination, ni mon endurance, ni ma rapidité. (…)» Extrait de la rivale.

Guillaume Duhan réussit à insérer énormément d’informations en seulement 5 pages. Sa relation avec son père, la faiblesse de sa mère, sa vie consacrée au sport… On sent que le personnage est prêt à tout pour être la première lors de cette course. On ressent sa volonté, sa froideur.

«Ma vie sociale est inexistante…» Extrait de la rivale.

La puissance de l’histoire monte crescendo au moment du départ de la course. La tension est là, présente. Les phrases sont courtes, intenses, incisives. Puis la chute …

Comme à son habitude, Guillaume conclut son histoire par un retournement de situation à laquelle je ne m’attendais pas.

Une nouvelle que j’ai lue et appréciée. Merci,  pour l’envoi. Pour de l’info sur la Rivale, le facebook de Guillaume.

Dans le monde fantastique, de petits doigts tapotant le clavier de la rivalité…

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Thomas Clearlake – L’essence des ténèbres

Bonjour mon monde! 🙂

Thomas Clearlake est l’auteur de «les forêts d’Acora», premier tome que j’ai lu de la série «Au-delà des étoiles». Un space opera de science-fiction qui comprend un univers complexe et fascinant voyageant à travers les confins de l’univers.

C’est également l’auteur, entre autres, des chroniques d’Earthpole. «Une sombre lueur d’espoir» est une nouvelle dystopique SF rattachée à ces chroniques vous présentant l’espoir de l’humanité résidant sous les traits d’une jeune femme luttant pour sa liberté.

Quand Thomas m’a contacté, à l’époque, pour lire sa nouvelle «l’essence des ténèbres», une histoire fantastique mêlant le thriller et la terreur, je n’ai pas dit non.

Résumé :
La petite ville de St Marys est frappée par des disparitions d’enfants inexpliquées. L’agent spécial Eliott Cooper y est envoyé pour enquêter. Peu à peu, il va être confronté à des faits qui ne relèveront plus de ses compétences d’agent, mais de sa capacité à lutter contre des forces occultes qui se sont emparées des forêts de St Marys… et ça n’est que le début de son enquête. 

Les nouvelles pour moi sont frustrantes. Elles sont courtes et nous laissent sur notre faim. Surtout si l’auteur le fait exprès…

«Une pièce du dossier était restée jusque-là confidentielle. Posée sur le siège passager, la pochette plastique opaque que venait de lui remettre l’agent Reynolds attendait d’être effeuillée. Il termina de siroter son café, reposa le mug et, savourant l’instant descella l’enveloppe pour en lire le contenu.» Extrait de l’essence des ténèbres.

Dans une nouvelle, c’est soit on aime ou on n’aime pas. Il faut, dès la première ligne attirer le lecteur. Le titiller. L’apprivoiser, pour qu’il ne lâche rien et qu’il lise la fin. Et là… on le laisse sur sa faim 🙂

«J’ai toujours détesté la pluie. Ce qui a constitué un handicap sérieux pour mon activité au long de ma carrière. J’étais ce qu’on appelle dans le métier une chouette ; je travaillais pour les services de renseignements fédéraux américains. Ce jour-là il pleuvait, évidemment.» Extrait de l’essence des ténèbres.

Nous n’avons pas le temps d’aimer (ou détester) le personnage principal que la fin arrive. Habituellement, au fur et à mesure de la lecture, on comprend qui cet homme et pourquoi il est en arriver là. Dans une nouvelle, tout est compact, résumé. C’est frustrant, dans le sens où elle me laisse sur ma faim et que l’auteur en joue…

«Rien n’avait prédestiné Eliott Cooper à sa carrière d’agent (…) Petit, il passait la majeure partie de son temps dans les collines avec son père (…) Eliott était un enfant intelligent, mais distrait (…) L’agent Eliott Cooper travaillait seul, le plus souvent (…) Cooper était un homme tout ce qu’il y avait de plus calme et distrait au quotidien (…) Le visage d’un ange, avec un léger sourire en coin qui disait qu’il ne fallait pas lui raconter d’histoires. Extrait de l’essence des ténèbres.

La fin est la plupart du temps, étonnante, brutale, déstabilisante. Surtout si l’auteur a su jouer de sa plume, de son style pour enchanter le lecteur et l’inciter à en demander plus. Car me laisser sur ma faim à la fin de cette nouvelle m’a fait un peu enrager.

J’ai donc décidé de lire le roman que Thomas Clearlake a concocté et qui contient les explications de cette trop courte histoire originale et effrayante.

Si la version courte vous laisse sur votre faim et que vous voulez, tout comme moi, connaitre l’histoire dans le fond, dans la forme et de toutes les manières que cela soit 😉  cliquez ici. Cela vous amènera sur Amazon pour faire son achat 😉

Si vous êtes un adepte de nouvelles et que vous aimez ces courtes histoires, allez faire un petit tour sur son site web en cliquant ici.

 

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Merci aux éditions  et Thomas Clearlake pour l’envoi de cette nouvelle.

Ps/ Si vous n’aimez pas le mystère ni le suspense, ne le lisez pas ! Une simple araignée vous effraie ? hum, ne commencez même la première page…
Pour ceux qui vont le lire quand-même, je vous conseille de ne pas le faire le soir sans d’abord avoir :
– allumé toutes vos lumières
– rangé vos poupées ( et vos autres babioles bizarres ) dans l’armoire à clé.
Vous êtes prévenus! Bonne lecture les amis! 😉

Dans le monde fantastique de petits doigts tapant sur des courtes nouvelles originales…

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Thomas Clearlake – Recours en Damnation

Bonjour mon monde!

Me revoilà avec une nouvelle qui allie plusieurs thèmes : policier, thriller ainsi que surnaturel. J’avoue qu’en ce moment mes lectures tournent autour du thème de l’épouvante 🙂
Voici, Recours en Damnation écrit par Thomas Clearlake.

Résumé :

Le détenu Carl Jenkins, incarcéré pour une trentaine d’assassinats, est escorté jusqu’au bureau du docteur Barnes pour sa séance de psychanalyse hebdomadaire.

Il persiste à clamer son innocence et jure qu’une force maléfique l’a poussé à commettre tous ces meurtres. Le docteur Barnes n’est pas convaincu

Courte et intense nouvelle, que voilà!
Des phrases concises qui donnent plus de poids à l’histoire, mais qui fait frissonner par la même occasion (et ce n’est pas le froid qui a fait cela, je peux vous l’assurer).

Une tournure qui mêle un ton humoristique à une histoire qui devient de plus en plus étrange. Je n’ai pu que sourire en lisant certaines phrases décalées, mais totalement en contradiction avec ce qui se passe dans l’histoire.

Thomas Clearlake explique de manière simple et pratique comment Carl Jenkins (le personnage principal/secondaire) choisit ses victimes.

«Monsieur Jenkins tuait n’importe qui. Tout ce qui lui importait était l’acte en lui-même. Juste tuer. Cependant, si monsieur Jenkins tuait n’importe qui, il ne tuait pas n’importe comment» Extrait de Recours en Damnation.

Puis continue sur la façon dont le personnage principal tue ses victimes. Sa façon de formuler donne «froid dans le dos.»

«Monsieur Jenkins tuait de manière classique, avec des révolvers, de tout calibre, sans préférence aucune, hormis l’utilisation systématique d’un silencieux (…) il tuait avec des armes tranchantes : couteaux de chasse, de cuisine, de boucherie (…) il s’était aussi essayé à l’étranglement, de ses mains, ou à l’aide de rideaux de douche (…)» Extrait de Recours en Damnation.

De la façon que cela est raconté, il nous semble que cet homme ne vit que pour tuer…
Et c’est là que nous basculons dans le surnaturel. L’horreur arrive .

«Celle-ci laissait entrevoir de nombreuses rangées de dents, luisantes et acérées, entre lesquelles suintait une substance noirâtre nauséabonde (…) Extrait de Recours en Damnation.

Qui est cette entité? Comment cette chose est apparue? Est-elle la véritable tueuse de tous ces meurtres? Et surtout que veut-elle en se montrant au Dr Barnes, le psychiatre?

«Le psychiatre senti soudain le contact froid et lisse d’une chose qui s’enroula autour de sa gorge. Il baissa les yeux et vit qu’un tentacule verdâtre lui enserrait la tête. Le membre préhensile qui avait jailli de la bouche grande ouverte du détenu Jenkins resserra son étreinte visqueuse jusqu’à l’étouffer.» Extrait de Recours en Damnation. 

Un pacte signé, une évasion faite, un retour dans le pays de l’enfance, et une fin qu’on lit avec un rictus… (Un écrivain sadique, comme on les aime)

Une histoire qui tient en haleine du début à la fin… un récit palpitant et passionnant… une chute sans fin.

 

Pour lire sa nouvelle, c’est ICI que cela se passe.
Merci à  pour l’envoi de cette histoire! 🙂

Dans le monde fantastique de petits doigts tapotant sur le clavier des pactes signés sans réflexion…

 

 

 

 

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J.B Leblanc et Frédéric Livyns – Le miroir du damné

Bonjour mon monde! 

 

Voici mon second coup de cœur 2018. Après «la dernière page» de l’auteur Hollow West, que vous avez lu, il y a deux semaines et qui s’est révélée être une pépite, je tombe sur un second diamant… Lisez ma petite note et laissez-vous prendre au jeu dans «le miroir du damné» de J.B Leblanc et Frédéric Livyns.

 

Résumé :

Au cœur du massif des Maures, le petit village de Tarsac est le cadre de meurtres sauvages qui font ressurgir la peur et la paranoïa.

Qui est cet assassin particulièrement retors qui ne laisse aucune trace et semble connaître parfaitement ses victimes ?

C’est ce que devront découvrir le lieutenant Courtas du SRPJ de Toulon et Martin Fabre, le chef de la police municipale. Cette enquête les confrontera à des croyances révolues sur fond de sorcellerie et à un étrange miroir qui semble être le cœur de l’énigme.

Mais, dans cette cuvette infernale écrasée par la chaleur, les morts se succèdent à un rythme effréné, et le temps leur manque…

Je ne suis pas une adepte à tout ce qui touche l’horreur. C’est la deuxième fois que j’en lis un. Le premier était Démons de Shirley J. Owens (de la même maison d’édition) et j’avais étonnamment apprécié cette histoire. Comme quoi…

Mêlé un thriller policier à du surnaturel, je ne peux qu’applaudir! Le résultat est bluffant. Plusieurs personnages se croisent. Tous, plus intrigants les uns que les autres. Tous plus mystérieux les uns que les autres. Qui ment? Qui est le tueur? Qu’est-ce que les habitants savent et ne disent pas, par peur?

 

«Ça fait très mafia tout ça. Tarsac, c’est un peu votre chose, non?» Extrait du Miroir du Damné.

Qu’est-ce que la causalité? En gros, cela désigne la relation de cause à effet. Il ne peut y avoir d’effet sans cause.
Tout phénomène à une cause. Tous les évènements semblent entièrement détachés et séparés. Un évènement suit l’autre, mais nous ne pouvons jamais observer aucun lien entre eux. Ils semblent être liés par conjonction, mais jamais par connexion. David Hume.

 

«(…) À cause de moi… parce que j’ai… négligé un point important du rite…. A cause de l’état de (…) À cause de moi. Extrait du Miroir du Damné

 Un rite??

Tarsac, un village coupé du monde et du temps qui passe, où une vieille femme tient lieu de sorcière pour des habitants pour qui la médecine ne fonctionne pas véritablement, ou pour demander des souhaits difficilement réalisable sans l’aide d’esprits…

«A Tarsac, nous vivons avec une vraie sorcière, peut-être même la dernière en son genre, mais ça ne choque personne.» Extrait du Miroir du Damné.

Tarsac, un village où les secrets sont légion, où les non-dits investissent les maisons à chaque coin de rue. Ou la terreur, l’horreur apparaissent dans un tunnel un soir…

«Isolée, oubliée, loin des touristes, mal desservies, située dans une région où la chaleur cuisait toute forme de vie et où les téléphones mobiles et internet ne trouvaient pas de réseau, Tarsac était la première ville de l’Enfer»

Un village transpirant (sans jeu de mots) l’abandon. Des habitants apeurés que les événements du passé reviennent les hanter dans ce présent brumeux. Deux hommes, totalement différents devront travailler de concert, afin d’élucider ces meurtres horribles… Un meurtrier qui a une longueur d’avance et qui semble connaître ses victimes.

Le miroir du damné est une histoire d’épouvante et je peux vous dire que mes cheveux se sont dressés en l’air durant tout le temps de la lecture. Pourtant, je ne pouvais que continuer afin de savoir la fin.
Un «finish» époustouflant . Une fin éreintante hors des chemins classiques. Affreuse, cruelle, mais tellement incroyable! Une «magnifique» fin pour un livre d’épouvante de cet acabit.

Merci  pour cette pépite. Afin de vous la procurer, c’est ICI que cela se passe!

Dans le monde fantastique de petits doigts courant sur le clavier de l’épouvante…

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Cléa Dorian, Ninon Vars – Dark Love

Bonjour mon monde!

Quatrième petite note de l’année. Penchons-nous sur Dark Love de Cléa Dorian et Ninon Vars.

Résumé:

Et si, pour guérir de ses blessures, il fallait se brûler les ailes ?

À quelques mois de son mariage, Anna décide de tout plaquer. Avec son amie Iris, elle aussi dans une relation difficile, elles éprouvent un besoin irrépressible de liberté.

Au Pandemonium, boîte de nuit devenue leur QG, elles vont franchir les limites et se font le serment de ne pas regarder en arrière. Au gré de leurs rencontres, Anna et Iris vont tenter de guérir de leurs blessures. Mais à jouer avec le feu, elles risquent de tout perdre… C’est peut-être aussi le prix à payer pour renaître et enfin trouver l’amour.

Roman complexe et dense, Dark Love raconte l’histoire de deux femmes liées par une amitié profonde et inaltérable. Une amitié que rien ne pourrait ébranler et submergeant tout le reste.

«Anna pourrait être ma sœur. Ce qui nous lie depuis notre plus tende enfance ne connait aucun mot suffisamment fort. Qualifier notre relation de simple amitié serait une insulte.» Extrait de Dark Love

 

 

« Si seulement je pouvais vivre comme toi, Iris. Libre d’être qui je suis, d’agir comme bon me semble, de jouir des plaisirs de la vie. Libre de toute peur.» Extrait de Dark Love

La confiance en soi n’est pas donnée à tous et s’accentue indéniablement quand on se trouve parmi un entourage qui vous fait constamment culpabiliser, qui vous critique ou vous fait sentir en état d’infériorité. C’est le cas d’Anna.

 

 

 

 

« (…) Le désespoir à l’état pur, le doute le plus profond (…) J’ai le sentiment que si elle le pouvait, elle se cacherait dans un trou de souris. Anna, quand as-tu cessé de t’aimer? » Extrait de Dark Love

De nature douce ou forte, on peut se faire « manipuler ». Nous sommes des êtres malléables, manipulables. À des degrés différents.

 

 

 

Certaines personnes joueront sur cette culpabilité. À long terme. En nous rappelant sans cesse qu’elle pardonne, mais tout en rabaissant subtilement. Et que pour qu’elles puissent « vraiment » pardonner, nous devrions être soumis et « sans âme » …

« Tu sais parfaitement que tu es incapable de tenir loin de moi… tu n’es rien sans moi. » Extrait de Dark Love
Est-ce vraiment cela de l’amour?

 

 

 

La peur de se retrouver seul. La peur d’aimer et d’être aimé. Cela se ressent souvent quand il y a un père absent. Une mère débordée… c’est le cas d’Iris.

 

« J’ai une sale sensation d’abandon (…) Je suis entourée de domestiques, mes parents viennent de signaler qu’ils ont trop de travail pour être présents ce soir. Ça n’aurait pas été si grave si ça n’avait pas été le jour de mon anniversaire.» Extrait de Dark Love

Sentir dès l’enfance que vous n’êtes pas l’être attendu fait mal. Que l’amour ne fait pas partie de votre existence. Que vos parents ne s’intéressent pas à vous, comme ils le devraient. Mais que pour combler leur absence, leur oubli, les cadeaux abondent. Des choses totalement matérielles qui n’apportent rien au cœur, à part des pleurs. Des larmes cachées. Des larmes séchées au cours des années.
Qu’est-ce donc l’amour? Est-ce que des cadeaux plus somptueux les uns que les autres peuvent combler un cœur devenu froid?

 
« Ils connaissent l’Iris que j’ai bien voulu leur donner. Toujours imposer une image qui montre notre force. Ne jamais susciter la pitié.» Extrait de Dark Love

Nous nous créons donc une coquille, une carapace. Hermétique aux sentiments d’autrui. Nous donnons l’illusion que rien ne peut nous atteindre. Nous jouons avec notre mépris, avec nos airs supérieurs… Nous sommes forts! Et pourtant…

« (…) je pourrais sortir de l’ombre, ne plus être la maîtresse, mais l’officielle, celle qui a le droit à toute la lumière.» Extrait de Dark Love

 

Deux femmes. Deux meilleures amies. Différentes. Le Yin et le Yang. Et pourtant si semblables.
Anna est une jeune femme naïve, douce, introvertie. Elle habite à la campagne et habite avec son futur mari qui décide de tout. Iris est une jeune femme moderne, indépendante. Elle gère sa vie, comme elle gère ses amants: avec force et persuasion.
Elles ont accueilli différemment leurs peurs secrètes. La première, en culpabilisant et en s’autoflagellant. La seconde en devenant froide comme de la pierre.

Cependant, au fil des pages, au fil des différents tomes, on s’aperçoit de l’évolution de chacune. Une fin remplie de rebondissements à laquelle mes hypothèses de départ n’ont pas tenu.

Deux auteures. Deux styles différents, mais s’emboîtant parfaitement pour offrir ce roman. Pour l’achat du livre DARK LOVE l’intégral, ça se passe ICI

Dans le monde fantastique de petits doigts courant sur le clavier d’une Amitié hors du commun.

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Anthologie dirigée par Marc Bailly – Nu sur le balcon

Bonjour mon monde et excellente journée !

Troisième petite note sur un excellent recueil d’œuvres littéraires dont le thème «Nu sur le balcon» en est le titre. Cette anthologie a été dirigée par Marc Bailly dont l’idée a été trouvée, semble-t-il, sous le coup d’un délire… (Lisez la préface, vous en saurez plus. ;))

Au cœur de la nuit, une silhouette pâle, sur le balcon d’en face. Le voisin, nu.
Paris. Dans un grand opéra, lors d’une importante répétition générale, le corps d’une cantatrice est retrouvé nu, au balcon.
Qui est cet homme nu surpris sur le balcon en face duquel un cadavre vient d’être retrouvé ?
Des variations sur le même thème : le balcon, ce tremplin vers ailleurs, cette station d’observation. Ce lieu de rencontre et de fantasme est le décor rêvé pour mettre en scène un corps nu. Mort ? Vivant ? D’ici ? D’ailleurs ? À vous de le découvrir !

Sommaire :

Jean-Pierre Andrevon : L’inconnue du cinquième
Bruno Pochesci : In Vinylo Veritas – Pierre Brulhet : Black Star – Fabien Clavel : L’œuvre des spectres – Xavier Deutsch : Le soldat blanc – Hélène Duc : Témoin indésirable – JB Leblanc : Curiosité de balcon – Daph Nobody : Le seul ami – Camille Adler : La tordue – Nicolas Pagès : Alan 2.0

Dix nouvelles extrêmement rafraîchissantes, totalement décalées et différentes les unes des autres, et dont on ne soupçonne pas la fin. Les chutes sont belles et imprévisibles. Allez! Ouvrez la porte…

Pour «l’inconnue du cinquième», je tire mon chapeau à son auteur,  Jean-Pierre Andrevon. J’ai été sur le c…. 🙂  Une histoire qui semble être totalement normale. Notre héros tout à fait normal aperçoit une femme normale se faisant agresser sur son balcon.

«Et une silhouette était apparue sur le balcon. Une femme. Blonde. (…) La femme d’en face était nue sur son balcon. (…) Il ne m’a fallu que quelques secondes pour être persuadé que l’homme et la femme s’étaient empoignés avec brutalité…» Extrait de Nu sur le balcon.

 S’en suit l’appel à la police (chose normale à faire, non?), la découverte de l’appartement sans locataire depuis plusieurs années (bizarre…). La police se demandant si l’homme n’a pas bu un peu trop… la suite aurait pu s’arrêter là : hallucination, coup de l’émotion… et retour à la réalité. Mais pas du tout!

 

 

Croyez-vous aux personnages de légende? Des entités se cachant parmi nous, êtres humains, et prenant la forme, la plupart du temps, d’une femme  à la fois séduisante, protectrice et dangereuse? S’en prenant à des hommes totalement normaux?

«Apparue, matérialisée, il n’y pas d’autres mots. Le balcon était vide une seconde plus tôt, et maintenant elle s’y dressait, Vénus de Botticelli sortant de sa coquille.» Extrait de Nu sur le balcon.

 

 

 

 

 

Pour «le soldat blanc», Xavier Deutsch a très facilement expliqué comment les agissements du passé pouvaient encore causer du tort aux personnes qui ont été harcelées.

«Le service militaire du soldat Blanc fut un long calvaire. La faute à quatre lascars qui…bah. » Extrait de Nu sur le balcon.

Certaines personnes arrivent à s’en sortir. D’autres,… non! La violence physique et mentale, la régularité des agressions, l’ostracisme de la victime qui est isolée, repoussée par les autres… tout cela, nous ne le souhaitons à personne. Ni même au soldat Blanc…

 

«Le petit bidasse Blanc qui a eu la mauvaise pioche de tomber sur quatre pénibles camarades de chambrée. On ne choisit pas son régiment.» Extrait de Nu sur le balcon.

Croyez-vous au Karma? 😉 En gros, le karma est le reflet de nos actions antérieures qui se manifeste dans notre vie actuelle. Il faut constamment chercher à améliorer son karma, littéralement ses actions, par de bonnes actions et en respectant la loi cosmique. Le but est de sortir définitivement du cycle des morts et des naissances et d’atteindre la libération finale.

Nicolas Pagès s’en est donné à cœur joie dans «Alan 2.0», je trouve 😉

Notre homme a été le parfait connard de Wall Street durant des années dans le monde des affaires à New York. Argent, pouvoir, sexe à volonté. Il s’en est servi et resservit, jusqu’à ce que sa famille le quitte laissant un vide autour de lui et, ne le fasse par la même, voir la véritable réalité d’une vie.

Un homme peut changer. C’est le cas de notre héros du jour. Nous avons tous une seconde chance de pouvoir nous réaliser comme, être humain empathique et généreux.  Afin de se racheter une conduite, notre héros se remet en question, aide ses collaborateurs et devient altruiste.

«Une nana prend un bain de soleil à poil sur un balcon, et alors? Tu as du travail et, surtout, d’autres choses plus importantes à faire.» Extrait de Nu sur le balcon.

La curiosité est un mauvais défaut, et le fait de s’être laissé tenter à regarder avec ses jumelles ce qui se passait sur le balcon de l’immeuble d’en face ne va surement pas jouer en sa faveur…

Si vous aussi, vous êtes curieux, n’hésitez pas à vous offrir ces nouvelles fascinantes écrites par dix auteurs(es) talentueux.

Merci Southeast Jones et pour l’envoi de cette pépite. Pour la commander, c’est ICI que cela se passe, les amis!

Dans le monde fantastique de petits doigts courant sur le clavier de nouvelles dont la fin est imprévisible…

 

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Southeast Jones – Il sera une fois…

Bonjour mon monde!

Voici la seconde note de 2018 🙂 «Il sera une fois» de Southeast Jones.

« Il sera une fois… » vous invite à rêver demain : de l’humain au surhumain, de notre insignifiante petite planète aux confins de l’univers et au-delà, Southeast Jones vous convie à découvrir ses visions d’avenir au travers de quinze contes étranges, drôles ou inquiétants.

Ces histoires hors du commun vous fourniront nombre de réflexions sur les futurs possibles imaginés par l’auteur : quelle serait votre réaction si vous appreniez qu’il y a bien une vie après la mort ? Qui est ce Père Noël un peu bizarre que l’on voit le 24 décembre sur Carabistouille IV ? Quelles pourraient être les conséquences de la victoire des mutants contre le genre humain ? Quelles traces garde-t-on quand on a été avalé par un ogre ? Que faire si, pour sauver la Terre, il fallait détruire l’Humanité ?

S’inspirant du « Golden Age of science-fiction », l’auteur vous ouvre grand les portes de ses univers.

Ce recueil compte quinze textes de science-fiction parlant de futur «hypothétique.»
Les thèmes sous-jacents dans ses nouvelles sont nombreux : désir d’éternité, désir de solitude, désir de domination et d’expansion, la religion, une certaine schizophrénie, le recommencement, le développement des facultés de l’être humain…

Le suspense est savoureux, tout comme la plume de l’auteur, fluide et facile à décrypter. Son ton est humoristique, parfois sarcastique mais qui convient parfaitement bien à l’histoire décrite.

«Quelqu’un était venu. Quelqu’un avait dévasté ce monde. Quelqu’un l’avait assassiné, s’acharnant dessus avec une férocité inouïe, de manière à en éradiquer toute forme de vie. Et, en ce moment, quelqu’un le nettoyait.» Extrait de Il sera une fois.

Qui sont les «barbares» qui veulent détruire ce monde? Qui sont ces expansionnistes annihilant toute forme de vie, sans aucun sentiment? Ces êtres grossiers, ces sauvages tuant sans discriminer, femme, enfant, vieillard… qui sont les bons, les mauvais? Peut-on véritablement les différencier? Ne sommes-nous pas tous les barbares des uns et des autres?

 

LA Vérité venue de l’espace sur ce qu’est réellement la Création, mais laissée cachée par la volonté de garder l’homme en «esclavage» pour «son propre bien» dans «Question de foi» m’a fait serrer les dents.

Une subtile parodie se fondant entre autres sur l’inversion et l’exagération des caractéristiques racontées dans la nouvelle «Divergence d’opinion» m’a fait sourire jaune.

«Je m’appelle Ishamaël (…) Si tu te souviens de mon nom, je ne serai pas vraiment mort» Extrait de Il sera une fois.
L’homme aime laisser un héritage, un petit morceau de lui afin que l’on se souvienne de sa vie passée sur Terre. De l’égoïsme? Peut-être… Finalement tout est un recommencement.

«Vous n’avez rien compris : je ne suis même pas certain d’être revenu!» Extrait de Il sera une fois.
Dans «Jonas» on pourrait se demander si on se retrouve pas dans le film Inception de Christopher Nolan. Film qui explore différents thèmes, dont la confusion entre le rêve et la réalité.

 

Dessin de Serge Clerc

 «Qu’importe le temps quand on a l’éternité?» Extrait de Il sera une fois.
L’être humain veut devenir éternel. L’éternité. Quel bien grand mot! Vous seriez éternel, que feriez-vous? Jouir sans risque de la vie? Pourquoi vous priverez-vous si vous pouvez tout faire? Explorer toutes les facettes de la vie? Mais après… que ferez-vous avec votre éternité si le temps passe, évolue mais que vous, vous demeurez seul?

Il sera une fois… pourrait être un conte raconté par nos grands-parents.
A la différence que ces nouvelles parlent des jours à venir, des innombrables possibilités que les êtres humains pourront posséder dans le futur.
Mais une question se pose. Est-ce que nous, Humains, allons continuer sur la voie de la destruction de notre chère planète bleue, ou bien, allons-nous nous transcender tous ensemble?

 

Ps/ j’ai lu la préface, Vincent 😉 et j’ai apprécié l’hommage rendu à Paul alias Southeast Jones 😉

Merci Southeast Jones pour ce magnifique recueil que je garderai précieusement! Merci également à  pour l’envoi.

N’hésitez pas à le commander. Ce recueil vaut son pesant d’or. Pour l’achat, c’est ICI.

 

Dans le monde fantastique de petits doigts tapotant sur le clavier d’un futur potentiel…

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Frédéric Lyvins – Les Grisommes #2

Bonjour mon monde!
Voici le second tome de Frédéric Lyvins : Les Grisommes tome 2 – Châtiment.

Résumé :

Les Grisommes continuent de menacer l’ordre du monde, recourant à des stratagèmes toujours plus sombres et faisant appel à de mystérieux alliés. Nathan, aidé d’Orianne, devra utiliser davantage que son imagination pour surmonter les épreuves auxquelles il sera confronté, allant jusqu’à combattre les créatures mythiques des contes de son enfance… qui ne sont plus tout à fait comme dans ses souvenirs.

 

Gemme de l’air

Quelques mois après sa victoire contre les Grisommes, on retrouve un Nathan plus confiant et plus serein. Les personnes qu’il aime sont présentes autour de lui … Seulement le calme, l’harmonie ne durent qu’un instant! Il se retrouve avec Orianne dans un monde où ils devront affronter bien des secrets et avoir foi en l’Amour …

 

Gemme de l’eau

Grisommes : Châtiment est un livre plus sombre que le précédent. On y retrouve beaucoup plus d’action et du suspens; des secrets enfouis se dévoilent au grand jour. De nouveaux personnages apparaissent tout en couleur : de bons et de mauvais.
Ce monde où se retrouvent nos deux compères amoureux est un univers regroupant toutes les peurs de l’imaginaire.

«Les peurs issues de l’imaginaire collectif depuis la nuit des temps sont ici toutes représentées» Grisommes 2: Châtiment

Gemme de Terre

Le yin et le yang. Blanc et noir. La dualité universelle. On dit que les contraires s’attirent. Dans ce monde, ils s’opposent! Blanche neige devient une sorcière, la jolie sirène, un être démoniaque. Tout ce qui se ressemble s’oppose. Est-ce cela l’équilibre de l’univers?

«Il y a une raison à l’existence de chaque chose … Qu’elle soit bonne ou mauvaise. Rien n’arrive par hasard. Et si les raisons sont parfois obscures, tout a une explication tôt ou tard.» Grisommes 2: Châtiment

 

Gemme de feu

Ce livre nous montre, encore une fois avec simplicité, qu’il est normal d’avoir peur. Nous ne sommes que des êtres humains, après tout!

«Il est normal d’avoir peur. Il est salutaire de craindre l’être responsable de cela. La suffisance cause souvent la perte.» Grisommes 2: Châtiment

 

Quelle foi peut anéantir la noirceur et rendre le monde plus beau? … L’Amour … «Il existe une force bien plus puissante que les ténèbres.» Grisommes 2 : Châtiment

Une fin qui fait «saliver» … Hâte de lire la suite de Nathan et d’Orianne.
Merci à nouveau à Séma Éditions, pour l’envoi de ce bouquin sympathique!

Pour l’achat du livre en numérique ou papier, c’est ICI

Dans le monde fantastique de petits doigts courant sur le clavier de l’Imagination …

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